Le combat pour s'approprier la bonne place est toujours en cours. Il s'achevera dans une semaine et nous aurons toujours la même configuration, à savoir un homme seul allant affronter les banquiers de l'europe qui continuerons de lui rire au nez et d'imposer leurs fameux taux d'intérêt.
Ces messieurs de la politique ont oublié de progresser, de s'adapter, de s'unir, de tous bords, afin de tenter de museler les prédateurs. Après 5 années de crise, ils n'ont d'autre préoccupation que celle de s'accaparer les bienfaits du pouvoir, pour eux même et leur cohorte de suiveurs.
Pas un seul n'a évoqué la possibilité de grouper les forces d'un pays, les intelligences, afin de lutter contre les prédateurs parfaitement identifiés.
Quel camp peut avoir la prétention de pouvoir combattre avec succès l'insolence des non élus européens qui, eux aussi, dictent leurs choix élaborés dans un luxe et une aisance sans pareils.
Demain nous n'élisont pas un président de la république, mais un préfet qui recevra ses ordres du pouvoir que se partagent les banquiers, les fonctionnaires bienheureux de l'europe, les supers pays qui nous inondent de leurs produits de seconde zone.
Pour un dimanche matin, c'est pas mal...je veux dire par là, pas mal eu égard à la quantité de texte.
A +
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire